Visite médicale humiliante et lavement de SLucie

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il y a 7 ans

SLucie est devenue la soumise de Maître Sam, un Maître attentif, respectueux mais très pervers. Il prend beaucoup de plaisir à organiser des surprises à sa soumise. Certaines sont ultra jouissives, d’autres nettement moins. Passionné de shibari, lors de sa soirée privée du mois de janvier 2017, il s’est amusé avec les cordes. Encordée, SLucie s’est balancée suspendue à une poutre, sa petite culotte brodée de soumise ne cachait rien de son anatomie mais elle n’en n’avait plus rien à faire lors de ce bondage, elle planait littéralement dans les sphères de ces si agréables contraintes.

Lorsqu’il l’a faite descendre toute en douceur pour la poser sur une table, elle s’est imaginée qu’il allait adapter son shibari pour faire une autre suspension, d’habitude il la descend jusqu’au sol recouvert d’une couverture. Maître Sam retire certaines cordes, masse ses poignets et chevilles comme il le fait souvent avant d’entreprendre de la lier couchée sur le dos directement sur la table. Avant d’entraver les jambes repliées sur elles mêmes, il lui retire sa petite culotte, elle fait un peu la moue, SLucie n’est pas très exhibition. Elle s’imagine qu’il va lui faire faire la chienne comme il l’a déjà fait en l’obligeant à se déplacer sur les coudes et les genoux. Peut-être lui mettra t’il son plug queue de chienne, en public, elle n’aime pas trop.

Soudain, Maître Sam annonce que sa soumise a l’air souffrante, SLucie ne comprend pas ses propos, elle est en pleine forme.

  • Chers amis, permettez-moi d’a b u s e r de votre temps mais comme nous avons un médecin parmi nous, je vais profiter bassement de sa présence pour faire ausculter ma soumise.

Un des hommes s’approche de la table, pose son sac puis se met à palper ses seins généreux et fermes, dont il s’amuse à faire rouler les tétons avant de commenter le côté érectile rapide de cette poitrine, un signe évident d’excitation. Très professionnel, il lui fait ouvrir la bouche, observe sa gorge qu’il palpe avant de commenter la très belle dentition de sa patiente d’un soir. Même s’il est effectivement médecin, SLucie est très gênée d’être ainsi exposée au regard de tous tout en comprenant qu’il ne va pas s’arrêter à ausculter sa bouche.

Effectivement, ses mains poursuivent leur ouvrage sur son abdomen avant d’en arriver à son intimité particulièrement exposée de par le bondage. Le médecin enfile des gants qu’il lubrifie puis entreprend de sonder son vagin. « Ferme et souple à souhait, elle doit être très agréable à baiser cher ami, vous avez de la chance. Peut-être me permettrez-vous de l’essayer ».

Ce commentaire glace immédiatement le s a n g de SLucie, elle ne se sent pas prête pour ce genre de pratique, encore moins devant du monde. De sa valise, le médecin sort un spéculum à usage unique dont il déchire l’emballage. Elle a horreur de ça mais ne dit rien, son Maître n’accepterait pas qu’elle rechigne et lui ferait regretter un tel manquement en public. Le médecin lubrifie encore son vagin dont il écarte les lèvres intimes n’ayant plus rien d’intime, pour insérer son spéculum qu’il ouvre prestement. Chez un gynécologue, c’est déjà gênant, sur la table du salon devant du monde, c’est bien pire pour la pauvre Lucie qui n’en est qu’au début d’une difficile expérience sur le fétichisme médical.

Le médecin pervers n’hésite nullement à commenter et, pire encore, à proposer aux invités de venir apprécier l’intérieur de son chaton grand ouvert. Il a même pris une lampe pour que les invités puissent mieux voir ce qu’il qualifie de « beauté intérieure » ! ! !

Lorsqu’il retire le spéculum, Lucie s’imagine que le jeu est terminé, il n’en est rien, bien au contraire. Le médecin récupère un peu de lubrifiant sur son sexe puis, toujours aussi prestement, s’attaque à son anus. Le majeur s’insinue en elle puis se met à la fouiller, là Lucie est ultra gênée, son Maître le voit mais n’en tient pas compte.

  • Elle est très encombrée, je subodore que son intestin évacue mal la matière, c’est peut-être une des raisons de sa fatigue. Nous allons lui faire un lavement, cela ne peut pas lui faire de mal et nous aurons alors une confirmation ou une infirmation de ce diagnostic.

Le mur de la honte s’abat instantanément sur Lucie. Le lavement, elle sait ce que c’est, elle en fait parfois seule pour être bien propre quand son Maître le lui demande. Déjà que pour lui, elle s’enferme à clé dans les toilettes pour aller le rejeter, l’idée de subir ça devant les invités la terrifie. Elle tente bien d’amadouer Maître Sam qui la bâillonne de ses lèvres et l’embrasse tendrement tout en caressant son visage. Elle aurait presque préféré qu’il la gronde plutôt que de la cajoler.

  • Cela va bien se passer ma chérie, après tu iras mieux ! Conclue son Maître en lui faisant un clin d’oeil.

Le médecin ne tarde pas, à insérer quelque chose dans ses petites fesses contractées. Il pince son clitoris, et, au moment où il le relâche, son anus se décontracte puis laisse passer un ballonnet ainsi que son doigt. Il retire sa phalange coquine et se met à gonfler la sonde anale à double ballonnet tout en caressant son clitoris. Lucie sent que cela se gonfle en elle, cela ne lui fait pas mal mais c’est aussi gênant que surprenant. Avant même qu’il ait terminé, on lui apporte une poche d’eau munie d’un tuyau que son Maître relie à la sonde anale. SLucie comprend qu’elle n’y échappera pas.

  • Je t’en prie Sam, ouvre le robinet et fixons cette poche à ta poutre avec une corde, cela va prendre un peu de temps. Indique le médecin. Peut-être devrais-je la sonder et vider sa vessie pour que nous soyons tranquilles.

  • Je vous en supplie, non, je n’ai pas envie de faire pipi ! Supplie Lucie.

  • Nous verrons cela dans un moment, pour l’instant, je prendrais bien un peu de champagne ! Conclue le médecin en voyant la soumise au bord des larmes.

Lucie reste un instant seule sur la table, entravée jambes écartées avec la poche à lavement se vidant lentement en ses entrailles. Une petite crampe l’a fait soudain couiner, puis crier. Le médecin et son Maître se précipitent pour voir ce qu’il se passe. Lucie se plaint d’avoir mal au ventre, le médecin regarde la poche à lavement.

  • Petite vicieuse, tu n’as absorbé que vingt centilitres et te plains ? Tu n’as pas honte ? Franchement, vingt centilitres ce n’est rien, un véritable lavement fait deux litres ! Je crois Sam, qu’une punition s’impose pour cette soumise qui ose nous faire du cinéma et nous mentir.

Horrifiée, Lucie perd pieds et regrette d’avoir appelé à l’aide. En effet, le médecin en massant un peu son ventre a fait partir la toute petite douleur qui n’était que passagère.

  • Je te laisse décider de la punition Doc, c’est toi qui lui infligera ! Répond son Maître.

  • Tu m’honores de cette confiance, je vais en être digne, nous allons donc nous amuser un peu et apprendre à cette coquine qu’il ne faut pas se moquer de nous. Détache ses jambes et entrave-là debout jambes bien écartées. Indique le médecin en gonflant encore un peu les doubles ballonnets.

Maître Sam libère donc les jambes de SLucie puis l’aide à se lever. Une des cordes maintenant ses jambes sert à l’obliger à rester debout sous le crochet du plafond. Il place ensuite une barre d’écartement à ses chevilles, immobilisant ainsi Lucie avec les jambes très écartées. La poche à lavement continue de se vider lentement en ses entrailles, elle n’ose plus bouger ni parler. Une soumise se prend une copieuse fessée, Maître Sam y contribue gaiement, car il s’est assis en face du Maître de la soumise qui est étendue sur leur quatre genoux. Cette fessée à quatre mains, n’en finit pas, les fesses ne tardent pas à devenir écarlates et la fille à essayer de se soustraire à cette cuisante punition.

  • Alors petite Lucie, on va avoir le cul bien propre ? Demande le médecin à haute voix. Voyons voir ce que tu vas nous rejeter !

Sur ces mots affolants pour SLucie s’étant imaginée qu’elle pourrait aller aux toilettes, il demande un seau qu’il positionne entre ses jambes sur une chaise. Et d’un seul coup, sans même la prévenir, il dégonfle les ballonnets malgré les suppliques de Lucie. Les ballonnets dégonflés n’assurant plus « l’étanchéité », la soumise contrite n’a pas d’autre choix que de se laisser aller. La canule est expulsée au premier jet de son lavement pollué sous les applaudissements des participants. Certains un peu gênés tourne la tête, d’autres regardent et commentent.

Lucie demande qu’on la libère, mais le médecin lui indique qu’elle n’a pas tout rejeté. « Si, si, j’ai terminé » réplique t’elle aussitôt.

  • Es-tu sûre de toi ?

  • Oui, je vous jure !

  • Puisque tu me mens et que tu es sûre de toi, nous allons donc faire un petit test. Ne bouges pas, je reviens de suite. Répond le médecin amusé.

Il quitte les lieux sans tarder pour aller à sa voiture chercher une couche pour personne incontinente. Il l’a lui pose prestement, habitué à cet acte médical qu’il lui arrive parfois de faire lorsqu’une infirmière est absente.

  • Mesdames, messieurs, Maître Sam m’ayant donné carte blanche pour punir sa soumise qui m’a menti deux fois et se moque de nous, je vous propose un petit jeu. Vous devez avoir sans nul doute dans vos valises de joueurs émérites des accessoires vibrants. Je vous propose de les utiliser sur la couche de cette menteuse. Si elle a tout rejeté comme elle vient de me l’indiquer, elle ne devrait avoir que du plaisir. Si elle m’a menti, il est fort possible qu’elle soit rapidement gênée...... N’hésitez pas à titiller ses tétons ils sont en pleine forme. Si elle râle, quelques claques sur ses cuisses feront circuler le s a n g, c’est très bon pour la circulation.

Lorsque le premier vibromasseur touche sa couche, Lucie se mord les lèvres. Trois autres entrent en action, un Maître s’amuse à faire rouler les tétons en pleine santé sous ses doigts. SLucie se tortille pour essayer d’échapper à toutes ses sensations initialement très agréables. Elle n’a pas l’habitude d’être la « reine » de la soirée et que tout le monde la regarde. Soudain, elle se met à crier « non, stop ». Comme peut s’en douter le lecteur, les participants souffrent soudainement d’acuité auditive et ne l’entendent pas. Les sphincters de Lucie cèdent et libèrent dans la couche la suite de son lavement.

  • Oh non, pas ça ! Crie soudain Lucie en se mettant à pleurer.

  • Stop ! Crie Maître Sam, nous allons fêter tous ensembles nos un an de vie de couple. Lucie va trinquer avec vous, boire une coupe de champagne bien mérité puis aller prendre une bonne douche. Ma puce, je t’aime même si tu as menti par pudeur. Ces mensonges méritaient une petite punition, elle vient de t’être donnée, maintenant passons à la fête mais avant, j’ai une question à te poser. Acceptes-tu de m’épouser ?

Le silence se fait. Les invités sont étonnés par cette demande publique. Les larmes de Lucie ne se tarissent pas mais cette fois, ce n’est pas de honte. Une fois libérée des cordes, ce n’est pas la flute de champagne qu’on lui tend qu’elle saisit, mais son Maître par le cou pour l’embrasser comme une damnée. Ce baiser dure un long moment, Maître Sam a aussi les yeux humides, allez donc savoir pourquoi. Les participants de la soirée, ravis d’assister à un moment aussi poignant, applaudissent de bon cœur.

Après avoir trinqué avec les invités les félicitant, Maître Sam accompagne Lucie à la salle de bain. Il fait la sourde oreille aux suppliques de sa soumise et l’aide à se laver. La couche est très sale, Lucie est très gênée quand il la roule avant de la mettre dans la poubelle. Il l’abandonne un instant pour aller chercher quelque chose en la laissant se sécher seule. Lorsqu’il revient les bras chargés d’une de ses robes de soirée préférée, il sort de sa poche un petit paquet cadeau. Les yeux de Lucie surprise brillent de curiosité. Ses petits doigts magnifiquement manucurés dévastent le papier cadeau de l’emballage. L’écrin qu’elle ouvre de ses petites mains tremblantes expose à ses yeux une magnifique bague.

  • C’est en attendant que nous allions chercher les bagues de fiançailles mon amour. Lui indique Maître Sam tout ému.

Les mésaventures et la honte de Lucie sont vite oubliées ce soir là, elle passe de convive en convive pour faire voir sa bague, recevoir les félicitations et bises complices des filles. La fête terminée, après une douche salutaire, ils se couchent et s’embrassent tendrement.

  • As-tu aimé la couche ?

  • Cela fait drôle, ce n’était pas désagréable mais devant du monde c’était dur à vivre. J’ai un aveu à vous faire Maître.

  • Je t’écoute !

  • Quand je vous ai embrassé juste après que vous m’ayez libérée et demandé en mariage, j’avais une très grosse envie.

  • Et ?

  • Et j’ai fait pipi dans la couche parce que je n’en pouvais plus.

  • As-tu aimé ?

  • Ce n’est pas désagréable.

  • Tu sais que tu as fauté en ne me demandant pas la permission de soulager ta vessie ?

  • Oui Maître, je mérite une fessée !

  • Non !

  • Pourquoi ? J’ai envie.

  • Parce que j’ai envie de te faire l’amour ! Par contre, demain tu iras acheter un paquet de couche, j’ai des idées pour jouer avec !

Ecrivaillon.

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